Stephanie Flacher
Domiciliation : Paris par adoption, Drôme à l’origine
Côté pro. : Ancienne banquière, administratrice de sociétés, active dans la transformation numérique et l’entrepreneuriat autour des technologies décentralisées
Côté perso. : Fille, sœur, épouse et mère(s), exploratrice des dynamiques inconscientes qui nous animent
Passions : Les choses de l’âme
Devise : « If you engage in travel, you will arrive. » (Ibn Arabi, 1165-1240)
LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/sflacher/
Ton geste solidaire ?
Faire preuve de cohérence en ayant cessé d’alimenter par ma force de travail un système économique incohérent en terme d’équilibre social et environnemental, pour ne consacrer cette force de travail qu’à l’émergence de nouveaux modèles de progrès priorisant la préservation du vivant et l’intégrité de chaque humain.
Une initiative qui t’inspire ?
Tous les travaux et les ouvrages de Bernard Lietaer, ancien directeur de la Banque Centrale de Belgique, sur la nécessité de repenser complètement le système monétaire, ainsi que la pensée philosophique de Patrick Viveret, ancien conseiller référendaire à la Cour des Comptes, sur les nouveaux indicateurs de richesse. Des contributions essentielles pour permettre à chacun de prendre en main ce sujet des valeurs sous-jacentes de la monnaie, trop subtilement écarté du débat public. Il n’y aura pas de changement de modèle sans changement de système monétaire.
« Le Fonds MAJ c’est un collectif de citoyens qui forme le projet de bâtir ensemble un modèle de progrès nouveau. »
C’est quoi être MAJicienne ?
Être MAJicienne, c’est exercer sa souveraineté individuelle en étant force de réflexion et d’action sur l’organisation de nos sociétés, l’aménagement de nos territoires, le fonctionnement de nos échanges marchands. C’est utiliser les technologies numériques pour sortir des vieilles croyances (consommer, exploiter, posséder, accumuler) et pousser à des systèmes d’échanges et de récompenses plus matures (partager, faire circuler, inclure).
Le Fonds MAJ, pourquoi ?
Pour agir chacun à son niveau, sans attendre la solution politique ou économique miraculeuse. Pour se donner la chance de faire entreprise et société ensemble en assemblant les volontés, les expertises et les projets, autour d’une énergie de responsabilité et de gouvernance partagée et décentralisée.